La ville européenne |
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L'avenue Henry-Boucher,
du petit chenal aux installations ferroviaires. |
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Le long de l'avenue Henry-Boucher (parallèle à l'av. J. Gau), et de part et d'autre de son intersection avec la rue E. Loubet, on trouvait le bâtiment du Crédit Foncier, et l'hôtel des Oliviers qui, faisant face au square Paul Bourde, fut inauguré en 1923. A l'époque, c'était le plus grand et le plus beau de la ville. |
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L'hôtel
des Oliviers |
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Dans cette zone gagnée sur la mer, entre la rue Philippe-Thomas (ce nom lui fut attribué par décision du Conseil municipal en date du 20 juillet 1899) et l'avenue Georges-Cochery, ainsi qu'entre l'avenue Colonel-Ramond (nom trouvé sur un plan de la ville datant de 1955) et le quai Mougeot (dernière rue parallèle à l'av. J. Gau avant le port), on pouvait voir autant d'entrepôts et de bâtiments à vocation commerciale que d'immeubles d'habitation. |
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La rue
Mattéi croise les rues Ramond et Pavillier |
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Citons le siège social de la Société des fûts métalliques tunisiens, créée en 1938 (rue Philippe-Thomas), et les Comptoirs sfaxiens (quincaillerie générale, matériaux de construction….) au 30, rue des Belges ; la grosse quincaillerie Alaiz au 16, les établissements Attard au 19 de cette même rue, le garage Chevaiso (angle rue H. Boucher et rue des Belges), les entrepôts des Magasins généraux (rue H. Boucher), le garage Pasquier (rue Lamoricière) et les Entrepôts de bois du Nord d'Henriksen et Larsen (quai Mougeot) dans le quadrilatère formé par les rues E. Loubet, Massicault, Pavillier et le quai Mougeot. |
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( Coll. Ch. Attard)
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Les
rues (de g. à d.) Loubet, Massicault, Gambetta, Alexandre
Dumas. |
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A l'est de la rue E. Loubet, il y avait les rues Massicault, Gambetta, Garibaldi, Alexandre-Dumas (la seule qui ait gardé son nom après l'indépendance de la Tunisie), Lamoricière, Michaud et No 10 (Roustan par la suite). |
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Les
rues (de g. à d.) Alexandre Dumas, Gambetta et Massicault. |
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Réclame
dans "La Dépêche sfaxienne" en 1920 |
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