|
|
|
|
|
La "Une" du journal "La Croix"
le 2 juin 1941.
(document Gallica)
|
|
|
|
Le "Rabelais"
appartenait à la
Compagnie Chastellain, et avait Rouen comme port d'attache. Sa jauge
brute était de 4999 tonneaux pour un port en lourd de 7000 tonnes. Au
cours de ce bombardement les hangars de la Compagnie des phosphates ont
été aussi touchés comme on peut le constater sur la partie gauche de la
première photo ci-dessous. |
|
|
|
|
|
Après l’attaque, vue du flanc tribord du Rabelais amarré au quai des phosphates.
(Document S. Zalila)
|
|
|
|
Sur
la vue suivante, où l’on voit le flanc bâbord du Rabelais, amarré près
du site des « phares et balises », nous avons entouré en rouge
l’endroit endommagé par l’explosion de la bombe.
|
|
|
|
|
|
Flanc bâbord du Rabelais.
(Document famille Leroux)
|
|
|
|
Le " Florida "
fut alors remorqué le 29 mai 1941 en rade, à 10 km de Sfax, où le 31
mai 1941 eut lieu la troisième et dernière attaque aérienne anglaise
qui l’incendia. Il brûla pendant 15 jours sans couler : de la
plage de la Poudrière le spectacle était impressionnant à voir en
soirée. |
|
|
|
|
|
L'épave
du Florida
(Document M. Lucien Dalloni)
|
|
|
|
|
|
Vue de la partie arrière de l’épave du Florida.
Le mât s’est plié à la base et s’est effondré,
son sommet atteignant la
plage arrière qui est dominée par l’affut du canon de défense.
(Document S. Zalila)
|