La forêt d'oliviers
sfaxienne |
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Un
vaste domaine au cœur de la forêt d'oliviers sfaxienne. |
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Ce furent les Romains qui, les premiers, transformèrent le désert en
terre de culture et apportèrent à la région une prospérité
remarquable jusqu'au milieu du VIIe siècle, à partir duquel la
décadence s'amorça. |
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Principales
plantations d'oliviers autour de Sfax. |
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Sans vouloir en rien minimiser le savoir-faire des autochtones en matière
de culture de l'olivier, force est de constater que la forêt d'oliviers
"sfaxienne" qui, en 1931, correspondait déjà à une superficie
de 455.000 hectares, doit beaucoup au sens de l'observation et à la
pugnacité de Paul Bourde. |
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Un des
tout premiers tracteurs utilisés dans la région de Sfax. |
Les Domaines
oléicoles sfaxiens regroupaient les propriétés de la famille Rendu. et Bidon d'huile des domaines Boucher. |
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En 1890, Paul Bourde fit, dans le journal "Le Temps", campagne pour que des concessions importantes de terrain soient accordées dans toute la région afin de faciliter de vastes entreprises devant se lancer dans la plantation d'olivettes. Le fait qu'il fût connu dans les milieux financiers de Paris, et qu'il y jouissait d'une considération méritée, firent qu'à force de persuasion, quelques-uns de ses amis se lancèrent dans ce qu'ils considéraient comme une aventure : investir dans le Sud Tunisien sur des lots de colonisation choisis. |
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M.
Boizel |
M.
Charrouin |
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On peut citer les noms de : |
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Sans oublier des Européens installés à Sfax avant 1881 : MM Avvocato, Charles Pic, Saada ... et quelques propriétaires tunisiens. |
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L'huilerie Carmelo Avvocato et fils à Sfax |
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