La prise de Sfax (suite et fin) |
||||
|
||||
Néanmoins la résistance fut vive et, si
tous les défenseurs furent tués, il y
eut aussi des victimes françaises. |
||||
|
||||
|
||||
M. Couturier, enseigne
de vaisseau, à la tête des fusiliers-marins du Trident, |
||||
|
||||
Pour entrer
dans la ville franque, puis dans la ville
arabe, il fallut faire sauter les lourdes
portes à l’aide de pétards de fulmicoton. Quand la deuxième sauta, les
40 défenseurs qui, selon Dick de Lonlay, se trouvaient derrière
furent tués. |
||||
|
||||
|
||||
Sous
l'action des explosifs, les portes de la ville cèdent. |
||||
|
||||
D’autres combattants s’étant retranchés dans les maisons et les caves, il fut entrepris de les en déloger. Quant à la centaine de défenseurs présents dans la grande mosquée, après qu’un coup de canon en eut renversé la porte, ils se rendirent et furent conduits hors de la ville. |
||||
|
||||
|
||||
Sfax : |
||||
|
||||
Cette
mosquée servit de cantonnement à 600
soldats pendant 4 jours avant d’être
rendue au culte des Sfaxiens. |
||||
|
||||
le campement des soldats français après la prise de Sfax en 1881. On voit le mur Est du fondouk. La caserne sera construite sur le terrain au premier plan. |
||||
|
A signaler que le commandant de la frégate
anglaise " Monarch ",
présente lors de la prise de la ville, mit
à la disposition des troupes françaises,
ses médecins et ambulanciers pour aider à
soigner les blessés. |
|||
|
|
|||
Quatre drapeaux, pris aux défenseurs de la ville, sont aujourd'hui exposés au Musée des Armées à Paris. |
||||
|
||||
|
|
|
|
|
|
||||
|
||||
|
||||
En avril
2006, on pouvait encore voir au pied des remparts, |
||||
|
||||